Les tribulations d’un liégeois en Seine-Maritime Partie 1 Cette histoire est tirée de faits réels. Si Le grand Gainsbarre trouvait l’année 69 érotique au point de laisser derrière lui la Tamise et Chelsea, moi je trouvais le début de l’année 23 d’un terrible ennui et d’une grande lassitude. Qu’est-ce qu’ils ont fait de Ma ville, de la Wallonie et de mon pays ? Une rage s’emparait de mes entrailles ; j’en avais marre. Marre de l’insécurité, marre des politiciens qui s’en foutaient plein les poches, marre de ces séparatistes à deux balles, marre de Liège éventrée par les travaux du tram ou des trous jamais rebouchés pour une raison x ou y. Je prends ma voiture direction Amay. « J’en peu plus, je me casse ! » Réponse de la principale intéressée (à ce stade) est : « Et pour aller où ? » En France, certainement la Normandie ou alors Boulogne-sur-Mer. Larmes aux yeux une fraction de seconde ainsi qu’une brève hésitation et la réponse tombe co...
Straffe Hendrik Wild 2024 Le nom Maes évoque toujours une multitude de souvenirs en moi. Pour commencer, j’avais un oncle, champion de savate, qui s’appelait Joseph Maes. Oufti, un sang chaud celui-là ! Il était connu à Jupille-Sur-Meuse. Ensuite, cela a été le sponsor des Rouches du Standard de Liège pendant des années. Il y a aussi Peter, keeper des Rouches de 96-98, et surtout entraineur de l’année en 2014. Mais ce jour, ce sont des Maes de la ville de Bruges qui attirent mon attention. Et plus spécialement, un nom de brasseurs bien connu à la direction de la Brasserie De Halve Maan. C’est en 1856 que Léon Maes, connu sous le vocable d’Henri I er , devient propriétaire de la brasserie. Je vous passe toute l’historique de la brasserie que vous pourrez retrouver sur le site internet, et je me permets de faire un bond dans le temps pour arriver en 1981. Date à laquelle Véronique Maes, cinquième génération de la famille, fait son entrée dans l’aventure. A cette période, elle e...