Cédric m’a encore gâté aujourd’hui avec la dégustation de ce
whisky assez rare.
Cette bouteille est présentée dans une belle boîte qui
ressemble plus à un coffret dont la face intérieure nous donne des explications
sur la vie de la distillerie : la pierre de Cadboll, les fûts, l’eau… C’est
ainsi que j’apprends que la douceur fondante et le caractère épicé marqué de
Signet proviennent, en partie, du malt d'orge « chocolat » et des fûts fabriqués
sur mesure pour Glenmorangie à partir de chêne blanc d'Amérique.
Cédric verse les verres et je commence par sentir celui-ci,
oufti Charlie (Johnny Deep) sort de ce verre : le cacao, le chocolat crémeux et
le chocolat noir que ma grand-mère faisait fondre sur la cuisinière au charbon.
Avec cela, une pointe de menthe et de cannelle. J’ai l’impression que cette
dégustation va me plaire.
En bouche, cette sensation de café moka est toujours là avec
un petit quelque chose en plus, mais quoi ? Après un moment, je reconnais
ce goût, le fameux amaretti di Saronno, biscuit aux amandes.
En final : la finale est longue, il tient en bouche
avec de la menthe et des agrumes.
Pour cette petite merveille, il fallait un cigare qui tient
la route, j’ai opté pour un Ashton VSG Robusto
Je reviendrai vers ce whisky, il a un prix assez élevé, mais
dans ce mélange il y a le plus vieux whisky de chez Glenmorrangie (30 ans).
Prix de vente au moment de l’article : ± 172 euros
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