Quai d’Orsay
Robusto Diplomático
E. R. 2015 du Habano a la francesa
Le jeudi 26 novembre se déroulait, à l’ambassade de Cuba à Paris, le lancement du nouveau cigare Quai d’Orasy en présence de Nikos Aliagas.
Le présentateur de TF1 avait pour cet évènement mis sa casquette de photographe puisqu’il expose ses photos Visages de Cuba à l’ambassade.
Je n’étais pas à cet évènement mais Antoine Bathie, directeur de la
société Seita Cigares m’a fait parvenir le dossier de presse que je me fais un
plaisir de partager avec vous.
Tabac de la Vuelta Abajo,
« Totalmente a mano » en
2015 à Cuba, série unique de 7000
coffrets de 10 robustos.
Hermoso n°4 d’une longueur
: 127 mm pour un cepo 48
Durée : 1h environ
Disponible en civette à
partir de décembre 2015,
Une production unique et
inédite
Cette année, la délicate
liga Quai d’Orsay s’est invitée dans les vitolas de galeras Hermosos n°4 des
manufactures cubaines. Celles-là même qui d’ordinaire donnent forme aux
célèbres H. Upmann Connoisseur N°1, Vegas Robaina Famosos ou Romeo y Julieta
Exhibition N°4.
Il en résulte un robusto de
127 mm avec un cepo de 48, doublement bagué de sa signature jaune d’or et du
Exclusivo Francia rouge par lequel Habanos distingue les éditions régionales
qu’il nous destine.
« Ce Robuto Diplomatico est
une production unique, en coffrets de 10 cigares, exclusivement confectionnés
pour le marché français », développe Antoine Bathie, Directeur de Seita
Cigares.
« Il succède au Belicoso
Royal (ER 2013) et au Robusto Embajador (ER 2011) qui avaient animé la marque
et rencontré un franc succès. »
Un Havane élégant, aux notes
pâtissières
Dans l’exceptionnellement
riche palette aromatique cubaine, Quai d’Orsay privilégie les notes précieuses,
onctueuses et pâtissières comme le miel, la vanille, ou la noisette.
Fraîchement roulé, le Robusto Diplomático y ajoute un beau bouquet de fleurs
séchées, et un final boisé, corsé, clairement rassasiant, qui surprendra plus
d’un amateur.
D’ores et déjà, l’édition
2016 du Havanoscope lui a attribué les quatre bagues qui récompensent les
cigares « excellents », à égalité avec les autres vitoles Quai d’Orsay encore
en civette actuellement.
Quai d’Orsay, de purs
Habanos, créés à la demande de la France
Cette histoire
franco-cubaine a commencé au début des années 70, par une lettre signée de
Valéry Giscard d’Estaing et adressée au Service d’Exploitation Industriel du
Tabac et des Allumettes, 53 Quai d’Orsay, Paris VII. Celui qui était alors
ministre des Finances (et du dernier budget à l’équilibre) y écrivait :
« La France brille dans le
monde entier par ses vins, sa haute couture et ses parfums, mais elle est
absente dans le domaine du cigare, il serait souhaitable de remédier à cette
lacune. »
C’est tout naturellement
vers Cuba que la SEITA s’est alors tournée pour concevoir ce qui devait être un
grand cigare dans l’esprit français du goût et du raffinement, la conclusion
idéale d’un repas gastronomique, désormais inscrit au patrimoine culturel
immatériel de l’humanité. Les Jefe de Liga de Cubatabaco ont alors assemblé ce
que la Vuelta Abajo, leur grand cru, avait de plus délicat et précieux à
offrir, créant en quelques sortes le blanc de blancs du cigare cubain.
Sa singularité et sa
constance en ont vite fait un label prisé des puristes hexagonaux, et recherché
par les aficionados du monde entier pour sa rareté et son exotisme.
Aujourd'hui, Quai d’Orsay
est toujours la seule marque Hecho en Cuba initiée à la demande d’un pays ami.
Communiqué de presse du 02 novembre 2015
J’espère avoir un retour de mes lecteurs français qui auront la
chance de le déguster.
Mais avec plaisir cher Ker ! Je l'attend avec impatience ce Quai D'Orsay...enfin si il arrive à traverser la méditerranée... car la Seita ne distribue pas la Corse mais comme c'est une ER... on devrait l'avoir...
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