A soirée exceptionnelle, c’est 45 templiers qui avaient pris la route du Vieux Haneffe. J’étais donc accompagné de membres de la Monday Team et du club L’Homme, les cigares…
Il faut dire que le Commandeur et son comité avaient encore fait fort puisque la soirée était basée sur le thème d’une rencontre avec Monsieur Bobby Newman, Executive Vice President de J.C. Newman Cigar Co, en Floride.
Pour ceux qui ne le savent pas, J.C Newmann Cigar produit
les cigares Brick House, Maximus, Diamond
Crow, Julius Caesar…
La soirée a débuté comme toujours par la dégustation d’une bière spéciale, j’ai pris pour ma part une Triple Karmeliet, puis nous sommes passés au premier cigare, un Diamond Crow Robusto n°4.
La soirée a débuté comme toujours par la dégustation d’une bière spéciale, j’ai pris pour ma part une Triple Karmeliet, puis nous sommes passés au premier cigare, un Diamond Crow Robusto n°4.
Un cigare avec assez bien d’arômes, mais qui reste doux,
donc un bon cigare d’apéritif.
Pendant la dégustation de ce bon cigare, J. C. Hollay (un
autre César) nous a présenté notre conférencier de la soirée. Avant de lui
céder la parole, il nous a donné quelques détails sur la soirée et notre
prochain rendez-vous.
J. C. Newmann nous a expliqué l’historique de sa société et
parlé des différents produits de celle-ci. Cela était très instructif.
Nous sommes ensuite rentrés pour le buffet froid qui était encore un divin moment de plaisir : varié, copieux, goûtu et méchamment bon.
Nous sommes ensuite rentrés pour le buffet froid qui était encore un divin moment de plaisir : varié, copieux, goûtu et méchamment bon.
Après celui-ci, nous avons participé à une tombola organisée
par J.C. N. Il y avait divers lots comme un livre sur les cigares J.C. Newmann
cigars, un humidor, une boîte de cigares Brick
House, mais aussi des statues d’Indiens et des mugs.
J’ai gagné une statue et un mug. Je ne vais pas polémiquer sur la valeur de cet Indien made in china, mais j’attire votre attention sur cette tradition u.s. qui veut absolument rendre à César ce qui appartient à César : le tabac puise son origine chez les Amérindiens et est une plante sacrée pour eux.
Il était temps de passer au deuxième cigare, le Diamond Crown Maximus N°5, cigare à la cape sombre et légèrement huileuse.
J’ai gagné une statue et un mug. Je ne vais pas polémiquer sur la valeur de cet Indien made in china, mais j’attire votre attention sur cette tradition u.s. qui veut absolument rendre à César ce qui appartient à César : le tabac puise son origine chez les Amérindiens et est une plante sacrée pour eux.
Il était temps de passer au deuxième cigare, le Diamond Crown Maximus N°5, cigare à la cape sombre et légèrement huileuse.
Les conversations vont bon train dans tous les sens. J.P.D.
me demande même de donner à deux charmantes débutantes mes appréciations sur la
qualité de l’indien (le made in china de tout à l’heure), ce que je fais en
dérapant sur le druidisme et le chamanisme.
Nous passons au 3 ème cigare, le Julius Caesar Toro, mais je préfère prendre une cartouche personnelle (un très bon Griffin’s) et garder le Toro pour plus tard.
Nous passons au 3 ème cigare, le Julius Caesar Toro, mais je préfère prendre une cartouche personnelle (un très bon Griffin’s) et garder le Toro pour plus tard.
Michel, Chris, Francis et moi décidons de rejoindre la
terrasse pour prendre un dernier verre et rejoindre nos pénates.
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