MIDLETON
Very Rare 2011
Irish Whiskey
Depuis 2013 et
son départ à la retraite, c’est le Master
Distiller, Brian Nation qui honore la vision de Barry en sélectionnant à la
main les whiskies les plus fins et les plus rares disponibles et les mélange
soigneusement pour créer chaque millésime annuel de Midleton Very Rare. Seul un
certain nombre de fûts sont considérés suffisamment excellents et rares pour
porter le nom de Midleton Very Rare,
ce qui en fait The Pinnacle of Irish
Whisky.
La gamme Midleton Very Rare n'est pas mélangée
comme n'importe quel autre whisky. Le rituel et l'expertise sans compromis du
maître distillateur conduisent à des différences subtiles mais reconnaissables
entre les années.
Ce soir j’ai la
chance de déguster l’édition 2011 de ce nectar. La bouteille d’origine est
livrée dans un magnifique coffret en bois qui est orné d’une plaque qui reprend
les renseignements principaux que nous retrouverons également sur l’étiquette
de la bouteille.
Parlant de l’étiquette, elle est d’une grande étendue et a la couleur d’un vieux parchemin, on peut y lire des informations comme le fait que c’est un whiskey irlandais de triple distillation (comme presque tous les irlandais), un rappel que la marque Midleton fait partie du portefeuille des whiskies JAMESON (Pernod Ricard). On a aussi des informations plus classiques comme la capacité de la bouteille, le % ALC., la marque évidement, l’année de mise en bouteille et enfin une phrase qui est comme la devise de la série Very Rare : vieilli à la perfection et mis en bouteille dans l'année.
Il y a une 2ème
étiquette, plus petite, juste dessous qui est une preuve de ce qu’on achète et
une mise en garde. Celle-ci porte la signature de Barry Crockett et le numéro
de série, un rappel que c’est une série très limitée. Et pour terminer une
phrase qui stipule que la bouteille n’est pas authentique si elle n’a pas la
signature et le numéro de série individuel. Pour la petite histoire, j’ai
dégusté la bouteille 011153.
Je me sers un
premier verre de dégustation de ce breuvage de couleur jaune orangé. Au nez, je
suis surpris par cette sensation de miel, de caramel mou.
Je porte le verre
aux lèvres et je prends une gorgée. La sensation de prune, chêne, et d’une
épice plus pimentée. C’est aussi la sensation graisseuse sur la langue qui
prend le dessus et qui me donne une impression d’alcool léger.
Du début à la fin
cette eau de vie procure une belle sensation de bien-être.
Le deuxième essai
se fera avec quelques gouttes d’eau qui vont encore libérer plus de saveurs
comme un côté pêche très juteuse. J’ai aussi un goût assez prononcé que je
mettrai un temps avant de lui donner un nom, il s’agit de l’odeur
caractéristique des baguettes d’encens naturelles qui brulent dans certains
temples.
Ma dégustation
s’est faite sur un whiskey irlandais mis en bouteille en 2011, de 40% Alc.
En
conclusion : très content d’avoir découvert cette édition très limitée,
qui change fortement des Jameson de base, ce whiskey m’a donné un grand moment
de plaisir et de bien-être. Je remercie vivement le maitre dégustateur qui se
reconnaitra.
Malheureusement,
ce whiskey est devenu pratiquement épuisé mais si vous tombez encore sur une
bouteille, il vous faudra débourser entre 400-450 euros.
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