Soirée du 14 novembre 2017
Oyez Oyez, comme notre club s’est doté d’un nouvel outil, un
groupe privatif sur Facebook, c’est par ce biais que le secrétaire nous a fait
parvenir l’invitation à une (encore) fameuse soirée dont le Grand Maître a le
secret. (Pour ceux qui ne sont pas sur le groupe pas de panique, il convoque
toujours par mail également).
Nous nous sommes donc rendus vers notre commanderie pour
installer notre bivouac.
Notre première surprise de la soirée a été la distribution
des chemises du club, en effet comme je vous en avait parlé dans l’article
précédent, nous avons voulu nous identifier et nous démarquer des autres
commanderies templières en arborant fièrement des chemises blanches avec notre
logo brodé sur le cœur.
Nous avons ensuite pris acte de l’ordre du jour. Celui-ci
était assez chargé mais nous avons quand même eu le temps de nous désaltérer et
partager nos dernières anecdotes en dégustant le premier cigare de la soirée, un
Oliva Connecticut Reserve qui va parfaitement avec l’apéritif.
Ensuite, le Grand Maître de notre commanderie a réclamé le
silence pour ouvrir officiellement la réunion. Il a fallu un cri du héraut pour
que l’assemblée prenne place et que nous écoutions de deux oreilles attentives.
Je vous passe le vote qui est des affaires de famille, et viens directement à l’essentiel de la
tenue du jour : la visite d’un représentant prestigieux de Cortès, non je
ne parle pas de Fernando Cortés de Monroy Pizarro Altamirano, mais bien de
l’illustre Frederik Vandermarliere, CEO de J. Cortés.
Quand Fred prend la parole nous sommes happés comme dans une
tornade tellement on sent chez lui un enthousiasme, une passion communicative.
Il aime sa société et le monde merveilleux qui nous rassemble aujourd’hui.
J. Cortés c’est bien sur une entreprise familiale qui est
spécialisée dans les cigares machines, avec sa gamme à la couleur bleue
évoquant la côte d'Azur, c'est un clin d'oeil à l'aisance de la jet-set et un
véritable coup de génie.
Mais c’est aussi des cigares faits main comme la gamme Calvano et Oliva Cigars (Oliva, Cain et Nub).
Fred sait que nous sommes amateurs de cigares faits main, il
nous parle donc très peu sur les machines mais se concentre surtout sur sa
rencontre avec Oliva.
En 2016, Fredje est
tombé amoureux de la société de fabrication artisanale d’Oliva cigars, basée
aux États-Unis et au Nicaragua.
Nous apprenons ainsi qu’une fois de plus grâce au Grand
Maître, nous sommes des privilégiés. En effet nous avons l’exclusivité des
cigares Oliva. Ceux-ci ne seront officiellement mis sur le marché belge que le
lendemain lors de la soirée de présentation aux distributeurs patrons de
civettes.
Certains me diront qu’on avait les cigares Oliva déjà chez
nous et ce n’est pas faux puisqu’ils étaient distribués par Monsieur Marc
d’Argembeau. Mais le 15 novembre 2017 c’est la société J. Cortès qui prend le
relais sur notre territoire.
Après ce discours, nous passons au repas. Notre responsable
des agapes a prévu pour cela deux sortes de hachis parmentier.
Le repas est distribué et nous nous régalons de celui-ci.
Après cet intermède culinaire, Fred reprend la parole pendant
que nous dégustons un Oliva V Liga Especial Toro.
Cette fois il nous parle de l’entreprise familiale, c’est
ainsi que nous apprenons que « En
1926, le père fondateur Maurits Vandermarliere commence à fabriquer des cigares
dans le grenier situé au-dessus de son magasin de cigares à Moen, en Belgique.
En 1936, il ouvre une petite usine de cigares à Heestert, un village voisin, et
en 2005, la plus jeune génération, menée par le fils de Guido, Frederik,
rejoint l'entreprise. A l'image de son père, il dirige l'entreprise avec
passion, savoir-faire, modestie et une mentalité alliant dur labeur et plaisir.
Mais Guido n'est jamais loin, toujours prêt à donner un bon conseil ou un coup
de main. Pour ceux qui veulent en savoir plus je vous conseille de lire
l’historique sur leur site.
La soirée touche lentement à sa fin, mais nous ne sommes pas
au bout de nos surprises puisque la famille Vandermaliere a depuis 2015 annoncé
la reprise de la société Jules Destrooper et ses célèbres galettes au beurre.
Fred ne pouvait pas venir sans nous offrir une boite de celles-ci.
Nous avons continué nos diverses conversations pendant que
la salle commençait à se vider lentement.
Encore une fois les Chevaliers de la commanderie d’Haneffe
ont prêté serment de se revoir bientôt.
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Laissez ici, vos commentaires, retour sur l'article et/ou la dégustation