L’article du jour est un condensé de plusieurs dégustations
de ce cigare.
Un puro du Nicaragua de 14 cm pour un cepo de 54.
La cape sombre de ce module est grasse et bien nervurée et
est simplement décorée d’un bout de laine rouge.
Après l’allumage, qui se passe parfaitement bien tout en
douceur, je trouve directement des caractéristiques des cigares du Nicaragua.
Après quelques bouffées, le cigare devient plus boisé avec des saveurs de café
et cacao. A l’aveugle, on pourrait être bluffé et se tromper carrément de
terroir.
Je vous donne en vrac les senteurs détectées dans les
différentes vitoles que j’ai testées : girofle, cuir, cèdre, miel, étable,
café et pain d’épices.
La combustion est régulière et dégage une bonne fumée, la
cendre est blanche.
Lors d’une dégustation, je me laisse emporter vers d’autres
horizons et je décide d’accompagner mon cigare d’une triple corne du bois des pendus ; je n’ai pas le verre ad hoc,
mais qu’à cela ne tienne, je prendrai ma corne à boire.
Le mélange des deux est pour moi une très belle
satisfaction, et je remercie les Dieux de ce moment de pur plaisir.
Ce cigare a plus de douceur que son grand frère le Mahestro, il y a de la puissance qui est
contenue par le côté mielleux et pain d’épices du cigare.
Je suis fan assurément.
Même si le cigare est bien roulé et d’une très belle
composition, j’ai quand même eu une surprise de taille lors d’un de mes tests
(six en tout pour rédiger cet article).
Un cigare s’est éteint à plusieurs reprises, et une forte sensation d’amertume s’en est dégagée ; j’ai eu bon le dégazer à plusieurs reprises, il n’y a eu aucun changement.
Un cigare s’est éteint à plusieurs reprises, et une forte sensation d’amertume s’en est dégagée ; j’ai eu bon le dégazer à plusieurs reprises, il n’y a eu aucun changement.
J’ai donc décidé de laisser tomber. Après quelque temps,
j’ai décortiqué mon cigare pour voir qu’elle était le problème et je suis tombé
sur une longue feuille de tabac avec une grosse nervure.
Oui, mes chers lecteurs cela arrive aussi aux meilleurs.
Oui, mes chers lecteurs cela arrive aussi aux meilleurs.
Comme je dis toujours, cela ne devrait pas arriver et c’est
dommage, mais cela reste une preuve de la fabrication artisanale de nos cigares
préférés.
Et puis vous savez que dans une bonne civette, on vous le
change sans problème.
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