Alec Bradley
Black Market
Gordo
La sous-cape provient de Quevedo, une région subtropicale de
l’Equateur. La plantation a utilisé au départ des graines de Sumatra. En
général, ce tabac est utilisé pour la cape.
Black Market est certainement la gamme la plus connue d’Alec
B. qui a misé sur un côté marketing important.
La boîte me fait penser à une
caisse de bâtons de dynamite, elle est fermée par une patte métallique et porte
une croix sudiste avec les inscriptions ABBM (Alec Bradley – Black Market).
Le cigare n’a pas de bague, mais plutôt un papier gris qui
l’enveloppe du pied jusqu’au ¾ du cigare (bâton de TNT) ; sur celui-ci
toutes les inscriptions sont noires : Black
Market, le logo AB et Alec Bradley.
La cape est luisante et parsemée de très légères nervures.
Après la découpe qui se fait sans problème, je l’allume et j’ai directement une
belle fumée. Le tirage est facile malgré un cigare assez serré et la combustion
est bonne et se fait lentement.
Je sens de la douceur, cela est assez surprenant pour un
cigare avec ce design et fait pour le marché américain. Il se dégage des arômes
de citron, de crème et de chocolat avec le côté poivré typique au tabac du Nicaragua
ainsi qu’un peu de tourbe.
La cendre tient bien au cigare même si elle est assez
friable.
Je fais ma dégustation devant un épisode de la série Hell on Wheels, et me voilà plongé dans
la conquête ferroviaire de l’ouest avec mon bâton de TNT aux lèvres.
Vers la fin de mon test, je dois faire un dégazage
conséquent (17 secondes), qui me donne une superbe flamme et me replonge dans
l’Ouest américain.
J’ai un cigare qui fait 15,30 cm pour un cepo de 60.
J’ai un cigare qui fait 15,30 cm pour un cepo de 60.
Cape : Nicaragua
Sous-cape : Equateur
Tripe : Nicaragua, Honduras et Panama
En conclusion : Je suis content de cette dégustation et je ne manquerai pas de reprendre cette vitole dans une de mes civettes.
En conclusion : Je suis content de cette dégustation et je ne manquerai pas de reprendre cette vitole dans une de mes civettes.
Le seul aspect négatif que je pointe sur ce cigare, c’est
qu’il me semble qu’il assèche fortement les lèvres.
Je l’ai partagé avec un Lagavulin 16 ans, ce qui a été pour
moi un super moment, car le côté poivré et tourbé du whisky venait renforcer le
cigare.
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