C’est lors d’une soirée au « Club Liégeois des
Passionnés de Cigares » que j’ai découvert cette gamme. Les
« représentants » du Groupe Oettinger Davidoff étaient venus en force
nous les détailler en long et en large.
Pour la soirée, Francis nous parle du Robusto et du Toro.
Mais revenons à notre Toro en dégustation de ce soir. J’ai
un cigare souple et d’une couleur de cape agréable, celle-ci a une belle
apparence et sa couleur assez claire met en évidence la bague.
Elle est en
lettres argentées sur fond noir et on y retrouve aussi bien le nom du cigare
que le fait qu’ils sont « faits main », et un 654 T qui
m’interpelle.
Francis nous explique que nous avons un cigare de 6 inches
(15,24 cm) pour un cepo de 54, avec T pour Toro (pour info, le Robusto est
un 550 R).
Me voilà donc parti pour une découverte de ± 81 min,
j’allume mon cigare et de suite j’ai une bonne fumée pas épaisse mais bien
présente, l’allumage est parfait et la combustion présente certaines
irrégularités qui se rectifient naturellement.
Je suis bien avec une puissance moyenne et des arômes pas
très divers : poivre, boisés, terreux et un peu de réglisse. Bref des
arômes classiques mais assez bien corsés.
Je trouve aussi que ce cigare a la tendance de diminuer la
salivation, je ne le conseillerai donc pas avec un whisky fortement alcoolisé
comme un « brut de fût » car il est vivement conseillé de bien
saliver avant de boire ceux-ci pour ne pas « être attaqué » par le
taux d’alcool.
J’ai depuis refait l’expérience de ce cigare et je lui ai
trouvé les mêmes caractéristiques, ce qui est bon signe. Mon seul regret, il n’a
pas une grande longueur en bouche.
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